Procès du prêtre pédophile : la défense met en doute un témoignage
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Belga Publié le lundi 25 novembre 2013 à 21h23 - Mis à jour le mardi 26 novembre 2013 à 06h22
Faits divers Le procès du père Eric Dejaeger, le prêtre d'origine belge accusé de 68 cas d'abus sexuels sur des mineurs d'âge dans les années 70 et 80 dans le territoire de Nunavut au Canada, est entré lundi dans sa deuxième semaine.
Le procès du père Eric Dejaeger, le prêtre d'origine belge accusé de 68 cas d'abus sexuels sur des mineurs d'âge dans les années 70 et 80 dans le territoire de Nunavut au Canada, est entré lundi dans sa deuxième semaine. L'avocat d'Eric Dejaeger a mis en doute lundi les déclarations d'un témoin.
Un témoin de 44 ans a déclaré que "Père Éric" lui avait donné des bonbons, de la monnaie et des somnifères lorsqu'il était âgé de 10 ans. Malcolm Kempt, l'avocat du père Éric Dejaeger, a remis en question les souvenirs quelque peu flous des témoignages lundi et a demandé à l'un des témoins s'il était possible qu'il ait "rêvé".
La semaine dernière, Éric Dejaeger, 66 ans, a plaidé coupable pour huit des 76 faits qui lui sont reprochés. Le ministère public, représenté par Doug Curliss, devait encore appeler 25 témoins à la barre, au sujet de dizaines d'abus sexuels, commis principalement sur des enfants de la communauté inuite d'Igloolik, entre 1978 et 1982.
Plusieurs témoignages très similaires ont déjà fait état de violences, d'abus sexuels, de viols, de séquestration et de bestialité de la part de l'accusé au sein de la maison de deux étages où se trouvaient la chapelle et le confessionnal ainsi que les appartements du prêtre, où celui-ci se retrouvait régulièrement seul en compagnie d'enfants.
Ceux-ci se rendaient à l'église en compagnie de leurs parents pour la messe mais aussi à la maison pour les confessions, jouer, lire, manger et dormir.
Faits divers Le procès du père Eric Dejaeger, le prêtre d'origine belge accusé de 68 cas d'abus sexuels sur des mineurs d'âge dans les années 70 et 80 dans le territoire de Nunavut au Canada, est entré lundi dans sa deuxième semaine.
Le procès du père Eric Dejaeger, le prêtre d'origine belge accusé de 68 cas d'abus sexuels sur des mineurs d'âge dans les années 70 et 80 dans le territoire de Nunavut au Canada, est entré lundi dans sa deuxième semaine. L'avocat d'Eric Dejaeger a mis en doute lundi les déclarations d'un témoin.
Un témoin de 44 ans a déclaré que "Père Éric" lui avait donné des bonbons, de la monnaie et des somnifères lorsqu'il était âgé de 10 ans. Malcolm Kempt, l'avocat du père Éric Dejaeger, a remis en question les souvenirs quelque peu flous des témoignages lundi et a demandé à l'un des témoins s'il était possible qu'il ait "rêvé".
La semaine dernière, Éric Dejaeger, 66 ans, a plaidé coupable pour huit des 76 faits qui lui sont reprochés. Le ministère public, représenté par Doug Curliss, devait encore appeler 25 témoins à la barre, au sujet de dizaines d'abus sexuels, commis principalement sur des enfants de la communauté inuite d'Igloolik, entre 1978 et 1982.
Plusieurs témoignages très similaires ont déjà fait état de violences, d'abus sexuels, de viols, de séquestration et de bestialité de la part de l'accusé au sein de la maison de deux étages où se trouvaient la chapelle et le confessionnal ainsi que les appartements du prêtre, où celui-ci se retrouvait régulièrement seul en compagnie d'enfants.
Ceux-ci se rendaient à l'église en compagnie de leurs parents pour la messe mais aussi à la maison pour les confessions, jouer, lire, manger et dormir.
albertonmardi 26 novembre 2013 - 03:17:07